Projet Sahaj Marg (Importance)

Importance du Sahaj Marg

dimanche 7 octobre 2007

Préambule

(Dernière actualisation : 21 novembre 2007)
Les effectifs réels de la SRCM sont un perpétuel sujet de spéculations. Difficile de cerner le vrai du faux ! Néanmoins, la croissance même si elle tend à se ralentir a été très importante, c'est indéniable. Et si l'Inde représente le gros des adeptes du Sahaj Marg, il existe aussi de nombreux groupes en Europe de l'ouest et en Amérique du nord. Où la SRCM arrivera-t-elle à s'implanter demain, c'est une autre histoire ?
Si l'on met de côté l'objectif cher à Babuji d'atteindre une taille critique pour faire basculer le monde vers la spiritualité, il faut bien comprendre que la recherche de la croissance s'est imposée à Chari dès l'instant où il a revendiqué le pouvoir. Sa tentative de putsch ne pouvait plus être légitimée que par son succès numérique...

La SRCM en quelques chiffres

(Dernière actualisation : 25 janvier 2009)

1. La guerre des chiffres

200 000 adeptes en Inde, 25 000 ailleurs dont 3 500 en Europe. Tels sont les derniers chiffres divulgués par la SRCM® lors d'une présentation du mouvement en Allemagne en 2007.

Diffuser un chiffre, c'est d'abord un effet d'annonce, une possible manipulation. Et Chari excelle dans ce domaine ! Il manie sur ou sous-estimation avec agilité au gré de ses intérêts. Et puis, qui faut-il comptabiliser ? Les cotisants, les participants réguliers ou épisodiques, les sympathisants ? Le mélange permanent pratiqué par la SRCM® simplifie encore plus la manipulation.

Hormis pour les cotisants, même la SRCM® ne connaît pas les chiffres exacts, d'où le recensement mondial qu'elle a organisé le 30 avril 2008 pour comptabiliser les abhyasis "actifs" (en gros, ceux qui participent régulièrement ). En fait, Chari sait seulement de manière sûre qu'il a environ 2 600 précepteurs et qu'il peut réunir plus de 50 000 personnes lors des grandes cérémonies de la Mission.

Essayer de rétablir la vérité est un exercice délicat. Il n'y a qu'une seule source, mais l'origine et le contexte de la diffusion de chaque chiffre sont au moins aussi importants que le chiffre en lui-même. Et les recoupements entre nombre d'adeptes (abhyasis), instructeurs (précepteurs) et centres de méditation ou ashrams viennent conforter l'analyse.

Ainsi, en réalité, d'après nos dernières informations, il semblerait plutôt qu'on tourne autour de 50 à 60 000 abhyasis actifs à travers le monde, dont 15 000 en dehors de l'Inde et autour de 5 000 en Europe.

Pourquoi une telle différence ? Chari veut mettre en avant l'importance de son succès et il n'hésite plus à majorer les chiffres. Ces dernières années, les effets d'annonce ont varié entre 200 et 300 000 adeptes, comme si l'on n'était plus à 100 000 adeptes près. Mais en raison d'une relative hostilité européenne envers les sectes, on a tendance à minorer les chiffres locaux pour ne pas affoler la population et les pouvoirs publics. Alors que c'est plutôt l'inverse outre Atlantique…


2. Evolution historique

A sa mort en 1931, Lalaji avait 212 disciples, selon NaqshMuMra. A son arrivée à la SRCM en 1964-65, Chari estime le nombre de disciples de Babuji à seulement 42 ou 43, puis sept fois plus en 1970. En 1983, à la mort de Babuji, Ajay Kumar Bhatter révèle qu'il y en aurait eu 3 000. K.C. Narayana estime leur nombre à 20 000 en 1991. Puis Chari annonce de 50 à 55 000 adeptes en 1995-97, et 75 000 en 2000. Il affirme ensuite avoir multiplié par trois le nombre d'abhyasis indiens en trois ans. Enfin, les chiffres annoncés par la SRCM® entre 2004 et 2007 oscillent entre 200 et 300 000 adeptes, selon les circonstances, rien que ça…

On dispose ici du parfait exemple de manipulation de l'information. D'autant plus que ces chiffres globaux sont tous des effets d'annonce, aucun ne concerne la gestion administrative quotidienne de la SRCM®. Ainsi Chari a tout intérêt à minimiser le nombre d'adeptes avant son arrivée en 1964 et à le magnifier ensuite pour s'attribuer la croissance.

Cela n'enlève rien au fait que la SRCM® s'est considérablement développée depuis les années 70, comme le regrettait le Docteur K.C. Varadachari. Mais de là à multiplier les chiffres par deux ou par trois ces derniers temps, il y a un grand pas qu'a franchi allègrement Chari.


3. La SRCM aujourd'hui

Quels que soient les chiffres réels, l'Inde compte au moins trois quarts des adeptes de la SRCM®. Ensuite, on retrouve en tête l'Amérique et l'Europe qui pèsent chacune pour près de 40% des effectifs hors Inde. Le reste de l'Asie est à moins de 15%, l'Afrique à 5% et l'Océanie 3%.

L'Inde arrive donc bonne première avec 40 000 adeptes actifs. Elle est suivie loin derrière par les Etats-Unis d'Amérique avec environ 4 000 abhyasis, la France un millier, puis l'Allemagne autour de 750, le Danemark, le Canada et les Emirats Arabes Unis avec environ 500 chacun selon la SRCM®.

Au lieu de traiter les chiffres en valeur absolue, on peut aussi calculer un taux de pénétration de la SRCM® dans chaque pays, que je définis comme le nombre d'abhyasis par million d'habitants. Cette fois, quelques petits pays arrivent largement en tête : les Emirats avec environ 130 abhyasis par million d'habitants, suivis de près par le Danemark avec près de 100 adeptes. On chute ensuite fortement avec l'Inde, la Suisse et Singapour entre 40 et 50 abhyasis, puis l'Irlande et l'Autriche avec une bonne trentaine. Rappelons que le taux de pénétration moyen
mondial est seulement d'une dizaine d'abhyasis par million d'habitants.

Du point de vue de la croissance des effectifs, les taux annuels (calculés sur la période 2002-7) les plus élevés s'observent en Amérique latine (Brésil notamment), en Russie, aux Emirats Arabes Unis et en Espagne. On observe aussi certaines décroissances, en Afrique notamment, et une relative stagnation-décroissance en France et en Irlande.


4. Et demain ?

Depuis plus d'une décennie, la SRCM est menacée par la stagnation de ses effectifs. déjà bien observée en Europe de l'ouest et dans l'Océanie, elle menace maintenant aussi l'Amérique du nord. Chari l'a vivement combattu en investissant toutes ses forces en Inde durant ces dernières années, mais cela ne pourra pas durer éternellement.
Le reste de l'Asie, tout comme le continent africain, restent assez hérmétiques aux thèses du Sahaj Marg. La seule véritable croissance observée concerne les régions que la SRCM a plus récemment investies, c'est-à-dire l'Amérique latine et l'Europe de l'est depuis la chute du mur de Berlin.
Cela n'empêche pas Chari de multiplier ses efforts à destination de la Chine et des pays asiatiques qui s'ouvrent au commerce international, comme Singapour ou Dubaï...

Géographie de la SRCM

(Dernière actualisation : 9 septembre 2008)
La présence de la SRCM est très inégale dans le monde : quels que soient les chiffres réels, l'Inde compte au moins trois quarts des adeptes. Ensuite, on retrouve en tête l'Amérique et l'Europe qui pèsent chacune pour près de 40% des effectifs hors Inde. Le reste de l'Asie est à moins de 15%, l'Afrique à 5% et l'Océanie 3%.


1. Asie

Grâce à ses effectifs indiens, la SRCM est d'abord présente en Asie. Mais sans eux, c'est l'un des continents les plus hermétiques au Sahaj Marg. L'Inde, la péninsule malaise (avec Singapour et la Malaisie) et plus récemment les Emirats Arabes Unis représentent la quasi totalité des effectifs asiatiques.

L'inde concentre au moins 75% des effectifs mondiaux (40 000 abhyasis actifs - et combien de sympathisants ?), soit un taux de pénétration de près de 40 adeptes par million d'habitants. Ils sont situés principalement au nord dans l'Uttar Pradesh et dans la corne sud de l'Inde. A savoir dans le fief traditionnel de Lalaji et Babuji au nord et dans les régions les plus modernisées et occidentalisées du sud chères à Chari. En dehors, le Sahaj Marg peine à s'installer.

Le reste de l'Asie compte moins de 2 000 adeptes, un taux de pénétration inférieur à un adepte par million d'habitants, soit l'un des taux les plus bas, comparable à l'Afrique. Les rares percées enregistrées ont été effectuées dans les enclaves les plus capitalistiques de la planète, comme Singapour et Dubaï. Plus de deux tiers des effectifs asiatiques hors Inde sont concentrés sur les Emirats arabes unis, Singapour et son réservoir de main d'oeuvre, la Malaisie. Faut-il en tirer des conclusions sur les populations qui s'intéressent au Sahaj Marg ?

Chari tente depuis quelques années de s'implanter en Chine par tous les moyens, au coeur d'un réservoir infini d'adeptes potentiels. Hong Kong et l'évolution capitaliste chinoise pourraient lui servir de tremplin si l'on en croit les résultats précédents...


2. Europe

Après l'Inde, l'Europe de l'ouest a longtemps constitué le premier bastion de la Shri Ram Chandra Mission. Implantée depuis 1972, notamment en France, au Danemark et en Suisse, elle compte encore environ 30% des effectifs hors Inde, soit environ 4 000 adeptes, avec une pénétration record de 15 à 20 abhyasis par million d'habitants. Sa croissance s'essouffle cependant depuis une bonne dizaine d'années.

A l'opposé des états où la SRCM est fortement implantée de longue date et qui ne progressent plus, l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie et le Royaume Uni pourraient voir leurs effectifs croître de manière importante dans un avenir proche.

L'Europe de l'est ne constitue une terre de conquête pour la SRCM que depuis la chute du mur de Berlin. On y compte près d'un millier d'adeptes, soit une faible pénétration (2 abhyasis par million d'habitants), ce qui suppose une capacité de progression très importante, notamment en Russie. Le Belarus et la Roumanie surtout illustrent bien ces évolutions...


3. Amériques

Implantée aussi depuis 1972 en Amérique du nord, la SRCM a longuement végété avant de rattraper puis dépasser l'Europe de l'ouest, essentiellement grâce aux étudiants et travailleurs d'origine indienne qui représentent le gros des troupes aux USA. On est passé de 19% des effectifs mondiaux hors Inde en 1995 à 28% aujourd'hui, tandis que l'Europe chutait de 60 à 46%, malgré ses conquêtes vers l'est. A l'heure actuelle, ils sont près de 5 000 adeptes, ce qui représente une pénétration de 10 à 15 abhyasis par million d'habitants. Et l'évolution tend à s'essouffler peu à peu, ce qui signifierait que les Américains sont plus rétifs que les Européens aux thèses du Sahaj Marg.

La pénétration de la SRCM en Amérique latine est plus récente et plus faible, avec près d'un millier d'adeptes, soit une situation similaire à l'Europe de l'est avec les mêmes capacités de progression, déjà bien exploitées au Brésil notamment.

4. Océanie

La SRCM a pénétré en Océanie au cours des années 80 et a été lente à décoller. On y compte aujourd'hui un peu moins de 500 adeptes, soit une pénétration de 10 à 15 abhyasis par million d'habitants. Malgré l'importance des gens originaires d'Inde, la croissance y parait assez faible. Une situation assez proche de celle des Etats-Unis...

L'essentiel des adeptes se situe en Australie, même si la SRCM tend à se répandre sur les îles.


5. Afrique

L'Afrique compte 500 à 1 000 adeptes au maximum, soit un taux de pénétration inférieur à un abhyasi par million d'habitants. Les thèses du Sahaj Marg ne séduisent pas les Africains. D'autant plus que deux tiers des abhyasis africains sont concentrés à Madagascar et en Afrique du sud, pays d'accueil traditionnels de la main d'oeuvre indienne émigrée.

Dans le reste du continent, la percée de la SRCM dépend beaucoup de la présence d'abhyasis coopérants expatriés. Leur départ est généralement suivi par la disparition progressive des autres adeptes.

Pourquoi la croissance ?

(Dernière actualisation : 21/11/2007)
Aux origines du Sahaj Marg, la croissance était un concept impensable. Cela ne signifiait rien dans la pensée de Lalaji, comme dans les traditions soufies ou hindouïstes. Mais Babuji a introduit un nouveau concept, celui de taille critique, une quantité minimale d'adeptes de la SRCM qui permettrait de faire basculer le monde vers la spiritualité.
De quand date ce concept ? Force est de constater qu'il n'y a pas eu de grosses évolutions des effectifs durantr les 20 premières années de la Shri Ram Chandra Mission. Mais viennent ensuite les critiques du Docteur K.C. Varadachari qui reproche à Babuji de privilégier la quantité à la qualité. Alors est-ce le concept de Babuji ? Celui de Chari ? Ou celui de Babuji sous l'influence de Chari ?
Depuis l'arrivée de Chari, c'est sûr, la croissance est devenu un objectif en soi. L'était-elle auparavant ? On ne parle plus aujourd'hui de taille critique, ni de son degré de réalisation, mais Chari réclame la croissance toujours pour réaliser l'objectif de son maître, Babuji...
En pratique, le développement de la SRCM en Occident voulu par Chari était un impératif. C'est ce qui lui a permis de s'imposer comme le leader du Sahaj Marg, alors qu'il était fortement remis en cause par les anciens. Il n'avait pas le choix, c'est le nombre qui a obligé sa reconnaissance, presque naturelle. Le Sahaj Marg n'aurait probablement pas survécu sans les légions de Chari !
Mais ces cohortes d'adorateurs ont aussi créé un sentiment de pouvoir, qui griserait très vite le plus intègre des hommes, Chari compris. On peut supposer qu'il y a succombé comme tout un chacun et qu'il en a redemandé. Sans compter que les multiples démissions ne pouvaient être compensées que par une croissance permanente au moins aussi importante.
Enfin, après la griserie du pouvoir, vient celle de l'argent. L'importance grandissante du mouvement a nécessité plus d'administration, mais aussi plus de flux financiers. Or les abhyasis occidentaux brassent les capitaux. Et la frénésie immobilière a gagné Chari. Dans l'intérêt du seul Sahaj Marg, ou dans le sien propre aussi, c'est toute la question...
La fragile prise de pouvoir de Chari lui a imposé la recherche perpétuelle de la croissance pour conserver son poste, elle a aussi dicté le modèle d'organisation de la Shri Ram Chandra Mission.

Pour approfondir...

(Dernière actualisation le 8 janvier 2010)

La présence de la SRCM est très inégale dans le monde : quels que soient les chiffres réels, l'Inde compte au moins trois quarts des adeptes. Ensuite, on retrouve en tête l'Amérique et l'Europe qui pèsent chacune pour près de 40% des effectifs hors Inde. Le reste de l'Asie est à moins de 15%, l'Afrique à 5% et l'Océanie 3%.

Asie

Grâce à ses effectifs indiens, la SRCM est d'abord présente en Asie. Mais sans eux, c'est l'un des continents les plus hermétiques au Sahaj Marg. L'Inde, la péninsule malaise (avec Singapour et la Malaisie) et plus récemment les Emirats Arabes Unis représentent la quasi totalité des effectifs asiatiques.
L'Inde concentre au moins 75% des effectifs mondiaux (40 000 abhyasis actifs - et combien de sympathisants ?), soit un taux de pénétration de près de 40 adeptes par million d'habitants. Ils sont situés principalement au nord dans l'Uttar Pradesh et dans la corne sud de l'Inde. A savoir dans le fief traditionnel de Lalaji et Babuji au nord et dans les régions les plus modernisées et occidentalisées du sud chères à Chari. En dehors, le Sahaj Marg peine à s'installer.
Le reste de l'Asie compte moins de 2 000 adeptes, un taux de pénétration inférieur à un adepte par million d'habitants, soit l'un des taux les plus bas, comparable à l'Afrique. Les rares percées enregistrées ont été effectuées dans les enclaves les plus capitalistiques de la planète, comme Singapour et Dubaï. Plus de deux tiers des effectifs asiatiques hors Inde sont concentrés sur les Emirats arabes unis, Singapour et son réservoir de main d'oeuvre, la Malaisie. Faut-il en tirer des conclusions sur les populations qui s'intéressent au Sahaj Marg ?
Chari tente depuis quelques années de s'implanter en Chine par tous les moyens, au coeur d'un réservoir infini d'adeptes potentiels. Hong Kong et l'évolution capitaliste chinoise pourraient lui servir de tremplin si l'on en croit les résultats précédents...



Europe

Après l'Inde, l'Europe de l'ouest a longtemps constitué le premier bastion de la Shri Ram Chandra Mission. Implantée depuis 1972, notamment en France, au Danemark et en Suisse, elle compte encore environ 30% des effectifs hors Inde, soit environ 4 000 adeptes, avec une pénétration record de 15 à 20 abhyasis par million d'habitants. Sa croissance s'essouffle cependant depuis une bonne dizaine d'années.
A l'opposé des états où la SRCM est fortement implantée de longue date et qui ne progressent plus, l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie et le Royaume Uni pourraient voir leurs effectifs croître de manière importante dans un avenir proche.
L'Europe de l'est ne constitue une terre de conquête pour la SRCM que depuis la chute du mur de Berlin. On y compte près d'un millier d'adeptes, soit une faible pénétration (2 abhyasis par million d'habitants), ce qui suppose une capacité de progression très importante, notamment en Russie. Le Belarus et la Roumanie surtout illustrent bien ces évolutions...




Amériques

Implantée aussi depuis 1972 en Amérique du nord, la SRCM a longuement végété avant de rattraper puis dépasser l'Europe de l'ouest, essentiellement grâce aux étudiants et travailleurs d'origine indienne qui représentent le gros des troupes aux USA. On est passé de 19% des effectifs mondiaux hors Inde en 1995 à 28% aujourd'hui, tandis que l'Europe chutait de 60 à 46%, malgré ses conquêtes vers l'est. A l'heure actuelle, ils sont près de 5 000 adeptes, ce qui représente une pénétration de 10 à 15 abhyasis par million d'habitants. Et l'évolution tend à s'essouffler peu à peu, ce qui signifierait que les Américains sont plus rétifs que les Européens aux thèses du Sahaj Marg.
La pénétration de la SRCM en Amérique latine est plus récente et plus faible, avec près d'un millier d'adeptes, soit une situation similaire à l'Europe de l'est avec les mêmes capacités de progression, déjà bien exploitées au Brésil notamment.




Océanie

La SRCM a pénétré en Océanie au cours des années 80 et a été lente à décoller. On y compte aujourd'hui un peu moins de 500 adeptes, soit une pénétration de 10 à 15 abhyasis par million d'habitants. Malgré l'importance des gens originaires d'Inde, la croissance y parait assez faible. Une situation assez proche de celle des Etats-Unis...
L'essentiel des adeptes se situe en Australie, même si la SRCM tend à se répandre sur les îles.

Afrique

L'Afrique compte 500 à 1 000 adeptes au maximum, soit un taux de pénétration inférieur à un abhyasi par million d'habitants. Les thèses du Sahaj Marg ne séduisent pas les Africains. D'autant plus que deux tiers des abhyasis africains sont concentrés à Madagascar et en Afrique du sud, pays d'accueil traditionnels de la main d'oeuvre indienne émigrée.
Dans le reste du continent, la percée de la SRCM dépend beaucoup de la présence d'abhyasis coopérants expatriés. Leur départ est généralement suivi par la disparition progressive des autres adeptes.